Le cabinet a récemment assisté un joueur de rugby devant la Commission des sanctions de l’AFLD (Agence Française de Lutte contre le Dopage).
L’athlète était poursuivi des suites d’un résultat positif à un contrôle anti-dopage lors d’un entrainement.
L’accompagnement du sportif par le cabinet durant toute la procédure a permis au rugbyman d’obtenir une réduction significative de la sanction, laquelle a été ramenée à une année de suspension.
La collaboration entre le cabinet le sportif pour la préparation du dossier est un pan essentiel dans la défense de l’athlète devant l’AFLD, cette collaboration permettant de constituer un dossier de défense ayant pour objet de démontrer l’absence de faute ou de négligence notamment.
En l’espèce, la défense de l’athlète a permis de démontrer la preuve de la contamination de complément alimentaire consommé par le sportif.
De nombreux produits, médicaments, compléments alimentaires, peuvent être considérés comme produits dopants et interdits par les dispositions légales.
En matière de dopage, la responsabilité du sportif est dite objective. Cela signifie que chaque sportif est responsable de ce qui se trouve dans son corps, et donc de ce que l’on peut détecter lors d’un contrôle antidopage.
Les fédérations, les clubs, les médecins et notamment les médecins du sport, sont tenus légalement de participer à la prévention et à la lutte contre le dopage.
Il est conseillé aux sportifs amateurs et professionnels de se renseigner précisément auprès de leur avocat et du corps médical, avant toute prise de médicament/complément alimentaire…
L’avocat en droit du sport peut également vous accompagner dans votre pratique sportive afin de vous alerter sur les pratiques et substances interdites.
Pour tout renseignement, contacter le cabinet.
La liste des substances et méthodes interdite est disponible sur le site de l’AFLD : https://ressources.afld.fr/liste-des-substances-et-methodes-interdites/